Lorsque Ali Laaridh regarde les barbus à l'oeuvre il se dit:
'Oh la la maachallaah la fougue de la jeunesse ca me rappelle l'époque ou on brulait du koffar mais c'est pas grave ils vont s'assagir après un meurtre ou deux Nchallah'
'Oh la la maachallaah la fougue de la jeunesse ca me rappelle l'époque ou on brulait du koffar mais c'est pas grave ils vont s'assagir après un meurtre ou deux Nchallah'