الجمعة، 9 مارس 2012

Ali Laaridh en spectateur

Lorsque Ali Laaridh regarde les barbus à l'oeuvre il se dit:


'Oh la la maachallaah la fougue de la jeunesse ca me rappelle l'époque ou on brulait du koffar mais c'est  pas grave ils vont s'assagir après un meurtre ou deux Nchallah'