الخميس، 10 يونيو 2010

Le chômage en Tunisie la faute à qui?

Je pense humblement que la Tunisie est le dernier bastion d'une joie de vivre aux abords du méditerrané malgré tout ce qu'elle présente comme défauts. C'est un peu comme une belle femme, on supporte ses caprices rien que pour son charme.

Ce beau tableau est gâché malheureusement par un taux de chômage supérieur à la normale surtout chez les diplômés.

La faute à mon sens incombe à une certaine catégorie d'homme d'affaires ou d'entrepreneurs qui naviguent dans un océan de composition et d'improvisation dans leurs gestion refusant catégoriquement de recruter puisque le désordre dans leurs affaires est devenue une culture de bien être.

C'est vraiment déprimant et décourageant de voir ces gens refuser de recruter au minimum un responsable administratif et financier malgré les aides de l'état et les milliards qu'ils de se font tous les jours. Un tel responsable leurs permettra d’ouvrir les yeux sur leurs pratiques incohérentes et sans lendemain.

C'est de l'égoïsme pure et dur ; on gagne et on ne partage rien, il s'agit même pas de partager c'est un besoin et rien d'autre.

Le phénomène, dépasse toute votre imagination la ou la structure de ces sociétés qui oscillent entre petite et moyennes entreprises le niveau de rentabilité impose de faite un minimum d'organisation alors que les dirigeants concernés refusent catégoriquement toute dépense de recrutement comme si le cadre à employer va faire chavirer les finances de la société.

Ces dirigeants représentent un vaste échantillon du tissu économique et social en se cachant derrière des régimes forfaitaires favorisant le travail en noir, manipulant les impôts, la sécurité sociale parfois sans état d’âme. Même en cas de contrôle fiscal ou social les solutions qu’ils drainent les encouragent encore plus à se livrer à leurs agissements.

Je suis sure que le travail existe pour tout le monde mais c'est tout un système qui fait que la stratégie de la non stratégie et du système D font que les enfants du pays se baladent de café en café.