الاثنين، 29 مارس 2010

Pourquoi un homme et une femme doivent partager le même lit !

C'est une question qui m'a toujours torturé l'esprit.

Pourquoi un homme et une femme doivent partager le même lit.

Je voulais essayer de comprendre cela à travers des besoins sexuels ou mieux peut etre et mon sondage a donné que très peu de femmes et d'hommes font l'amour le soir avant de dormir c'est à dire au moment ou ils sont le plus fatigué.

Et puis je voulais regarder ca d'un œil intime et j'ai vu que le partage du lit ca donne droit à plus de malaise que de confort; jambes non écartés, espace réduit, ronflement, étouffement à cause de choses...

Plus encore il faudra apprendre à ne plus faire des habitudes comme de ne plus rallumer la télé ou de faire moins de bruit ou de ne pas en faire ou de ne pas changer ses vêtements dans la chambre le matin pour ne pas réveiller l'autre...

Je pense à tout ca alors que les moments des câlins et de tendresse ne représente que 10% de ce qui reste.

Alors pourquoi la torture, pourquoi?

Pourquoi ne pas vivre chacun dans son coin tranquille et paisible et il faut croire que ca ne réduit en rien l'amour au contraire...

A suivre...

الثلاثاء، 9 مارس 2010

La vie appartient à ces hommes

L'observation de l'évolution sociale et les tracas de la vie me pousse souvent à regarder profondément l'origine des choses et des mouvements.

Un comportement par ci, un accident par la, une réaction, une réunion, une correction, une décision, des décisions, bref les faits et gestes du quotidien d'ou est ce que ça vient!?

On peut croire facilement à une matrice d'une complication inimaginable qui laisse sur le tapis nos souhaits de projection et d'estimation ou encore à une interaction due à des liens non encore mesurables, peut être...

Mais, moi je pense plus simple. Je pense que la vie ce n'est que la traduction de la volonté de quelques uns dont j'appelle les actifs.

Les actifs c'est une espèce à part, un genre qui fait bouger les choses et en général qui défend profondément une cause ou une affaire à un point de pousser les passifs vers lui.

Les passifs justement, des êtres du courant, des personnes emmenées par la vague et le pire c'est qu’ils ne s’en plaignent jamais parce qu'ils croient durement à leur sorts et à ce qui leurs arrive. Ces gens vous diront bêtement "on a que se qu'on mérite" ou encore « allah Ghaleb » ou « sattar rabbi wa kahaw »

Et mon idée c'est que même à une échelle institutionnelle ou administrative c'est pareil. On essaie de faire croire à l'utilité des commissions par exemples ou des comités pour discuter et décider ensemble alors que finalement il y une seule personne qui décide en donnant la voix aux autres ou en tranchant la grande différence des autres.

J’existe donc je suis, mais à quel verbe ?