الجمعة، 12 أغسطس 2011

Les idéologies sont mortes


La crise financière de 2009, les mouvements spéculatifs et de  la bulle inflationniste ressemble plus à un point de départ d'une désillusion du système capitalistique.

Cet évènement, greffé à la chute du mur de Berlin et du communisme, impose une réflexion en profondeur sur certaines idéologies écrites durant les deux derniers siècles et qui apriori ne font plus recette face à un bouleversement socioculturel guidé  d'une main de maitre par un nouveau mode de vie basé sur la communication, le melting pot, la réactivité, l'agressivité au détriment de la famille de l'encadrement et du communautarisme.

Une crise identitaire qui fait que maintenant on peut se déchaîner et agir en même temps avec une possibilité d’un 'top départ' qui a fait le bonheur de la révolution tunisienne et égyptienne. De la, un enchainement de boules de neiges sur plusieurs plans donne le sentiment à une jeunesse, en mal-être, qu'elle a désormais le pouvoir et les moyens d'aller casser et revendiquer...

Ce cadre un peu machiavélique se mélange chronologiquement avec la crise du nucléaire japonais et la déchéance du pouvoir capitalistique américain et européen. Alors qu’on se range à résoudre le problème de la dette de la grece voila que les USA perdent pour la premier fois depuis les années 40 sa note de triple A.

Catastrophique....

Les marchés s’effondrent, les bourses dégringolent emmenant dans leurs sillages les monstres de l’'Asie qui s'avèrent très liés économiquement au reste du monde.

L’explosion de la jeunesse en Grande Bretagne et sans doute la goute qui fera renverser définitivement la donne. Le vent a tourné  annonçant la fin de ces systèmes fabriqués de toutes pièces dans une cocotte minute qu’on a longtemps essayé de protéger par des greffes alors que in fine elle ne se prête qu’à l’explosion.

Dans quelle direction irons nous ? Quel modèle faut il développer avant de voir resurgir le communisme et l’extrémisme religieux ?

Plus rien ne sera comme avant.